La filière du cognac a pressé, le 19 mars, l’État français et l’UE d’agir pour la « sauver » de la « catastrophe » liées aux taxes chinoises et américaines. « Nous en appelons au chef de l’État, au chef du gouvernement : il est de leur responsabilité de sauver notre appellation », a déclaré Florent Morillon, président du BNIC (interprofession). « 70 % de notre business » risquent d’être « anéantis si rien n’est fait ». Concernant la Chine, « les dix jours qui viennent vont être décisifs », selon lui, alors que les sanctions provisoires instaurées depuis l’automne par Pékin…
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