Depuis 2010 en effet, le nombre de cheffes d’exploitation stagne autour de 26 %. Des freins à l’installation et à l’exercice du métier d’agricultrice subsistent, financiers surtout, et d’accès à la terre et aux responsabilités. Pourtant, leurs compétentes sont indéniables. Pour preuve : leurs résultats technico-économiques avec, en plus, une prise en compte des questions sociales et environnementales. Pour libérer leur potentiel, elles ont tout intérêt à sortir de leur zone de confort. Points de vue d’agricultrices et d’actrices/acteurs du monde agricole à ce sujet, en cette Journée internationale des droits des femmes.
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