La filière française des fleurs coupées est scindée entre grandes exploitations et petits floriculteurs rarement sur la même longueur d’onde. Les rangs des petits ont été garnis ces dernières années par des « fermes florales » lancées par des non-issus du milieu agricole, et souvent vues d’un mauvais œil par les gros producteurs et les grossistes. Chez les producteurs classiques, l’individualisme serait de mise, regrette le syndicat Verdir.
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