Arrêt des importations d’engrais, surcoûts ingérables pour les céréaliers et déprise agricole, tels seraient les conséquences de l’application au 1er janvier 2026 du mécanisme de compensation carbone aux frontières. Les engrais azotés produits en dehors de l’UE, dont la fabrication est très énergivore, seraient ainsi lourdement taxés, or aujourd’hui 43 % des volumes utilisés en France proviennent de pays tiers.
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