La récolte est décevante, tant en termes de rendements que de prix, constate le président de la CGB. Franck Sander regrette que l’embellie économique ait été trop courte pour sécuriser la filière. Il s’inquiète de la disparition de nombreux moyens de production et de la baisse des prix de la betterave. Dans ces conditions, la rentabilité de la culture n’est pas assurée en 2025. La CGB compte sur la proposition de loi des sénateurs Duplomb et Menonville pour retrouver de la compétitivité. Le syndicat maintient la pression sur le gouvernement et la Commission européenne, lors des négociations commerciales avec le Mercosur et l’Ukraine.
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