Alors que dans d’autres parties du monde, l’utilisation de NGT et la commercialisation de plantes éditées ont déjà commencé, la France et l’Europe prennent du retard, faute de réglementation autorisant leur usage. Pour autant, certains éléments laissent à penser que tout n’est pas perdu pour le Vieux continent, estime l’Association française des biotechnologies végétales (AFBV).
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