Alors que les États-Unis et la Chine investissent et commencent à commercialiser des plantes obtenues par l’utilisation de nouvelles techniques génomiques, la France et l’Europe prennent du retard, faute de réglementation autorisant leur usage. Pour autant, la recherche académique reste d’un bon niveau et les start-ups foisonnent. L’Association française des biotechnologies végétales (AFBV) a fait un inventaire des applications que l’on peut trouver à travers le monde.
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